L’ambiance du restaurant parisien, niché dans une rue discrète, était un mélange parfait de raffinement et d’intimité. Les murs tapissés de velours beige absorbaient les murmures des convives, tandis que les chandelles vacillantes projetaient des ombres dansantes sur tables. Au centre de cette scène, Matthieu et Flavie étaient attablés face à Clairmont et sa femme, Claire. Matthieu portait une chemise blanche à la coupe irréprochable, le col ouvert, le geste mesuré. Il parlait peu, mais chaque mot semblait calculé, pesé, comme un mouvement sur un échiquier invisible. Il dégageait une assurance tranquille, tempérée par la douceur d’un sourire presque bienveillant. Ce dîner n’était pas qu’une affaire de chiffres. Derrière la courtoisie des échanges se jouait une intrigue bien plus subtile, un jeu de pouvoir où le charme et la manipulation s’entremêlaient. Flavie serait la pièce maîtresse pour sceller un contrat entre la société de Matthieu et l’empire industriel des Clairmont.
Clairmont, un homme dans la cinquantaine bien tassée, arborait une chevelure grisonnante impeccablement coiffée et un ventre naissant qui trahissait des années de dîners d’affaires arrosés. Son costume gris anthracite, taillé chez un grand couturier, ne parvenait pas à masquer une certaine suffisance. Cette arrogance typique des hommes qui ont gravi les échelons à force de coup bas et de compromis, et qui ont fini par confondre pouvoir et légitimité. À ses côtés, Claire, sa femme d’une trentaine d’années, rayonnait dans une robe rouge écarlate qui épousait ses formes généreuses avec une élégance provocante. Ses cheveux blonds tombaient en cascades de boucles soignées, son maquillage mettait en valeur ses lèvres pulpeuses et ses yeux verts pétillants. Elle semblait habituée à ces soirées, intervenant de temps à autre avec des commentaires polis, mais son attention vagabondait souvent vers son téléphone, comme si elle s’ennuyait dans ce monde d’affaires.
Flavie, quant à elle, était l’incarnation de la séduction. Vêtue d’une robe noire moulante au décolleté plongeant qui en révélait juste assez pour attiser l’imagination, elle portait des escarpins qui allongeaient ses jambes et un collier discret qui attirait le regard vers sa gorge. Ses cheveux châtains étaient relevés en un chignon élégant, laissant quelques mèches encadrer son visage. Elle savait que Matthieu l’avait convié à cette soirée non seulement pour sa beauté, mais aussi pour son intelligence et son obéissance. Elle était sa femme, son jouet, et un instrument des plus pervers. Dans son esprit, Flavie se sentait vibrer d’une excitation familière, elle savait ce qu’il attendait d’elle. Elle serait sa chienne, et ce rôle lui procurait un plaisir délicieusement obscène. Chaque ordre implicite de son homme était une caresse invisible, un rappel de son appartenance.
La conversation tournait autour des détails du contrat. Matthieu, sûr de lui, en détailla les grands principes, préférant suggérer plutôt qu’expliquer, conscient que l’art de convaincre tenait souvent à ce qu’on taisait. Clairmont hochait la tête, son verre de Bordeaux à la main, mais ses yeux déviaient régulièrement vers Flavie. Elle le sentait, ce regard chargé de convoitise, et elle en jouait à la perfection. Un sourire subtil, un battement de cils, une main qui effleurait distraitement le bord de son décolleté, tout était calculé pour l’allumer sans alarmer Claire.
Sous la table, Flavie retira discrètement un escarpin et fit glisser son pied nu le long de la jambe de Clairmont. Elle sentit la tension immédiate dans son corps, son mollet se raidissant sous le tissu de son pantalon. Elle remonta lentement, caressant l’intérieur de sa cuisse avec une légèreté feinte, comme si c’était un accident. Clairmont toussota, posant son verre un peu trop brutalement, mais il ne recula pas. Au contraire, ses yeux s’attardèrent sur le décolleté de Flavie, trahissant une absence totale de retenue, le réflexe d’un homme que le pouvoir rendait aveugle à sa propre vulgarité. Flavie pencha légèrement la tête, laissant une mèche de cheveux tomber sur son épaule, et murmura un commentaire anodin sur le vin « Ce millésime est exquis, n’est-ce pas ? Il a un goût si… intense. » Ses mots étaient lourds de sous-entendus, et elle vit les pupilles de Clairmont se dilater.
Matthieu observait la scène avec un détachement apparent, mais Flavie connaissait ce regard. Une approbation silencieuse, un encouragement à pousser plus loin. Il adorait la voir ainsi, déployant son charme comme une arme, endossant le rôle de tentatrice au service de ses ambitions. Dans son for intérieur, Flavie se délectait de cette scène. Il ne lui avait rien dit, mais elle devinait le rôle que son homme lui avait donné. Sachant que chaque regard concupiscent qu’elle attirait renforçait le pouvoir de Matthieu. Sa chatte palpitait déjà sous sa robe, imaginant comment son homme la récompenserait plus tard.. ou la punirait pour ce zèle, selon son humeur du moment.
La main de Flavie glissa sous la table, effleurant d’abord sa propre cuisse, comme pour se donner contenance, puis frôlant celle de Clairmont. Un contact fugace, mais suffisant pour le faire sursauter. Il rougit, jetant un regard nerveux à Claire, qui était absorbée par son téléphone. Flavie intensifia son jeu, elle croisa et décroisa les jambes, laissant sa robe remonter légèrement, offrant un aperçu fugitif de ses cuisses nues. Clairmont déglutit, son assurance de façade se fissurant sous l’effet du désir brut. « Vous semblez tendu.. » ronronna Flavie d’une voix douce. « Le stress des affaires, sans doute ? »
Flavie sentait qu’elle avait atteint le point de bascule, celui où le désir commençait à brouiller le discernement. Le piège était presque refermé. Il n’y eut qu’un regard de Matthieu, un ordre silencieux, précis. Imperceptible pour qui ne le connaissait pas, mais elle comprit que le signal était donné. Flavie obéit sans un mot. Clairmont déjà à point, les yeux noyés de convoitise, suivit chacun de ses gestes avec une avidité presque animale. « Je reviens dans un instant, je vais me rafraîchir aux toilettes. » Elle se leva, sa démarche ondulante comme une invitation muette, et adressa à Clairmont un clin d’œil discret, un geste qui promettait l’interdit. Matthieu hocha imperceptiblement la tête, son sourire en coin trahissant sa satisfaction. Flavie s’éloigna, sentant les yeux de Clairmont la suivre, son cœur battant d’excitation. Elle adorait ce rôle, être l’appât, la proie consentante dans le piège de son homme.
Près de l’entrée des toilettes, dans un couloir faiblement éclairé où la musique du restaurant s’était transformé en un bruit distant, Flavie s’adossa au mur, un sourire provocant aux lèvres. Elle n’eut pas à attendre longtemps. Des pas hésitants résonnèrent, et Clairmont apparut, son visage rougi tant par le vin que l’excitation. Il s’arrêta à quelques mètres, visiblement tiraillé entre la raison et la tentation. Flavie ne lui laissa pas le temps de reculer. Elle s’approcha, son parfum enivrant l’enveloppant, et ouvrit la porte des toilettes pour femmes d’un geste fluide. « Vous venez ? » murmura-t-elle, ses yeux le défiant de refuser.
Clairmont hésita un instant, jetant un regard par dessus son épaule vers la salle du restaurant, mais le feu dans ses veines l’emporta. Il franchit le seuil, la porte se refermant derrière lui avec un clic qui scella son destin. La pièce, carrelée d’un bleu profond, baignait dans une lumière tamisée. Les miroirs semblaient observer, témoins silencieux de ce qui allait se jouer. Flavie sentit son pouls s’accélérer, non de peur, mais d’excitation. Elle savait que Matthieu n’était pas loin, que chaque seconde la rapprochait du point culminant de son plan. Elle s’approcha de Clairmont, glissant une main sur son entrejambe. Sa queue était déjà dure, tendue contre le tissu, palpitante d’excitation. Il ne dit rien, son souffle court comme celui d’un homme piégé.
Flavie sourit intérieurement, savourant ce moment de pouvoir. Elle défit sa braguette avec une lenteur délibérée, libérant son sexe dressé, impatient. Ses doigts s’enroulèrent autour de lui, le branlant doucement au début, puis avec plus d’insistance, sentant sa queue trembler sous ses caresses. Clairmont gémit faiblement, ses yeux mi-clos. Du coin de l’œil, Flavie vit la porte s’entrouvrir silencieusement. Matthieu se faufila à l’intérieur, téléphone en main, ses mouvements couverts par la musique diffusée par les haut-parleurs. Il se posta dans l’ombre, prenant des photos discrètes, immortalisant la culpabilité de Clairmont.
Flavie s’agenouilla avec une docilité savamment étudiée, ses yeux brillants d’un éclat joueur, obscène. Sa bouche s’empara de sa queue avec une ardeur théâtrale, l’avalant profondément, jusqu’à le sentir presque dans sa gorge. Sa langue dansait avec une précision perverse autour du gland, traçant des cercles humides et appuyés, déclenchant en elle des gémissements de plaisirs, volontairement exagérés. L’écho pervers d’une salope dévouée à sa tache. Chaque bruit était calculé, chaque soupir accentué, autant par son propre plaisir, que pour captiver sa proie, l’enfermer dans cette bulle de luxure où il ne verrait plus qu’elle. Pendant ce temps, du coin de l’œil, elle aperçut Matthieu lui faire des signes.. la ceinture, le pantalon.. Elle comprit immédiatement, et un rictus discret, presque cruel, effleura ses lèvres. Sans cesser de le sucer, elle fit glisser ses doigts jusqu’à sa ceinture, la défit d’un geste fluide, puis baissa lentement le pantalon et le boxer de Clairmont, jusqu’à les laisser tomber misérablement à ses chevilles. L’exposant complètement, vulnérable, tandis qu’elle l’aspirait toujours plus fort, jouant de ses lèvres comme d’un piège lubrique.
Matthieu leva un pouce approbateur, un sourire en coin teinté de sadisme. Ses yeux pétillaient d’un amusement cruel, comme s’il saluait la performance de sa femme d’une ovation silencieuse. Puis, sans se presser, il déposa son téléphone dans un endroit discret, orientant l’objectif avec précision pour ne manquer aucun détail de la scène. Les dernières pièces du plan de son homme s’imbriquérent dans l’esprit de Flavie. Ce n’était pas un simple jeu, elle était l’instrument pour faire chanter cet homme, obtenir des preuves, et un futur moyen de pression. Lui mettre une laisse numérique.
Elle fut arrachée de ses pensées lorsque Matthieu, comme s’il entrait en scène dans un théâtre décadent, fit claquer avec violence la porte contre le mur. Le bruit résonna dans l’air comme un coup de fouet, arrachant un sursaut pathétique à Clairmont. « Mais qu’est-ce que c’est que ce putain de bordel ?! » rugit Matthieu, sa voix feinte de colère faisant vibrer les murs. Pris de panique, Clairmont tenta de dégager son sexe de la bouche de Flavie, mais elle le bloqua d’une main ferme derrière sa cuisse. Il resta figé, le pantalon aux chevilles, exposé dans toute sa culpabilité.
Matthieu s’approcha lentement, son regard planté dans celui de Clairmont, aussi froid qu’un scalpel. « Pendant que je partage une bouteille avec ta femme… tu t’enfiles la mienne dans les chiottes ? » Son ton était calme, presque posé, mais chaque mot avait le goût du venin. « C’est ça, ton idée d’un partenariat professionnel ? Je t’invite à dîner avec ta charmante épouse, on discute affaires, on parle de confiance… et toi, tu te tapes comme un lâche ma femme dans les chiottes ? » Clairmont balbutia, muet de honte, le souffle court. Matthieu fit un pas de plus, son regard toujours planté dans le sien. « Elle est au courant, Claire ? Que son mari se fait pomper dans les chiottes comme un chien par la femme de son futur associé ? Vous avez un petit accord entre époux ? Libertins ? Ou c’est juste toi, le vicelard, qui s’éclate en douce pendant qu’elle sauve les apparences ? » Matthieu n’avait même pas besoin d’entendre sa réponse, il la connaissait déjà. Clairmont était foutu. Il le savait, lui aussi. Tout ça n’était qu’un jeu cruel, une danse sadique dont Matthieu tenait les rênes. Clairmont devait tout à Claire, et plus encore à ses beaux-parents, qui l’avaient gracieusement hissé là où il était, grâce à leur influence et leur fortune.
Clairmont, rouge écarlate, bafouilla, sa voix tremblante : « Non… non, pas du tout, ce n’est pas ce que vous croyez… On n’est pas ce genre de couple ! Claire est… traditionnelle, elle me tuerait ! » Sa confiance de façade avait volé en éclats. Il ressemblait maintenant à un petit garçon surpris la main dans le pot de bonbon, les yeux écarquillés de terreur. Matthieu croisa les bras, un sourire carnassier aux lèvres, savourant sa victoire. « Donc, tu voulais juste te taper ma femme en douce, pendant que ta pauvre épouse attend à table ? Quel gentleman. »
Acculé, Clairmont se tourna vers Flavie, cherchant un soutien désespéré. Mais silencieuse, toujours à genoux, elle jouait son rôle à la perfection. Baissant les yeux comme une épouse repentante, les larmes feintes au coin des paupières. « C’est elle aussi ! » bredouilla Clairmont, pointant un doigt accusateur. « Elle m’a chauffé toute la soirée, avec ses regards, ses caresses sous la table… J’ai rien demandé, bordel, elle m’a sucé sans même que je lui demande, c’est une vraie salope ! ».
Le silence qui suivit fut brisé par un éclat de rire glacial. Tranchant, presque inhumain. Matthieu termina de s’approcher, lentement, tel un prédateur jouant avec sa proie. « Donc non seulement tu la suis comme un chien en rut… et maintenant, tu traites ma femme de salope ? Tu te fous de ma gueule ? Tu crois que je n’ai pas vu ton petit manège ? » cracha-t-il, s’arrêtant à quelques centimètres de lui. « Tu te rends compte de ce que tu dis ? Tu quittes la table, tu la suis dans les chiottes, tu la laisses te sucer la queue… et maintenant tu pleurniches comme une pucelle parce que t’assumes pas ? ».
Matthieu jeta un regard noir à Flavie, son ton devenant sec, cruel, chargé d’un mépris délicieux. « Et toi ? T’en es là maintenant ? Tu suces un type entre deux plats, comme une pute de luxe ? Il faut que je te foute une laisse pour te contrôler ? ». Flavie frissonna, mais pas de honte. Son corps vibrait, électrisé par l’humiliation feinte, par la brutalité verbale de son homme. Elle jouissait intérieurement de cette position, offerte, blâmée, avilie. Elle chuchota d’une voix tremblante, avec une justesse presque bouleversante « Pardon… je suis désolée, Matthieu… je… je ne sais pas ce qui m’a pris… » Ses yeux ne quittaient pas le sol, mais ses cuisses s’étaient resserrées. Elle était trempée. Cette violence verbale, cette mise à nu, cette soumission absolue… elle adorait ce moment qu’il lui offrait.
Matthieu la fixa un instant, lisant en elle comme dans un livre ouvert. Il la connaissait par cœur. Il sentait son pouvoir s’enraciner profondément en elle. Alors, sa voix claqua, sèche, implacable dans une rage froide savamment simulée « Très bien. Puisque tu joues à la pute… fais-le comme il faut. Prends sa queue. Suce-le. Jusqu’au bout. Je veux voir. Je veux que tu me montres à quel point t’es une chienne. ». Flavie riait intérieurement, son homme n’avait pas orchestré une simple scène improvisée. C’était une exécution.
Elle releva doucement la tête, et dans son regard humide, il n’y avait plus de honte. Seulement de la dévotion, de l’avidité… et une faim obscène.. Clairmont, complètement décontenancé, bredouilla « Mais… attendez, ce n’est pas… Ma femme est juste à côté, si elle arrive, si quelqu’un entre… » Sa voix était un mélange de panique et de désir résiduel, sa queue se redressant malgré lui devant les yeux de Flavie. Matthieu ricana, un son froid et dominateur. « Alors, espérons que ma femme nous vide les couilles avant qu’elle arrive. Ou peut-être que tu veux que j’aille chercher Claire, qu’elle vienne voir comment son cher mari se fait sucer par une autre ? T’aimerais ça ? Qu’elle regarde ? ».
Sans attendre de réponse, Matthieu libéra son sexe durci, gonflé par l’excitation de la scène, veinée, prêt à entrer en jeu. Flavie, en parfaite petite pute, n’eut besoin d’aucun ordre. Elle passa d’une queue à l’autre comme une prêtresse du vice, son plaisir brûlant dans ses veines. Elle suça Clairmont d’abord pour l’empêcher de réfléchir, le prenant profondément dans sa gorge, ses gémissements étouffés résonnant comme une symphonie obscène. Puis elle se tourna vers son homme, aspirant son membre avec une dévotion totale, sa langue experte le faisant durcir davantage. Les hanches de Clairmont bougèrent instinctivement, simulant des petits va et vient dans le vide, trahissant son désir malgré la crainte.
A genoux, Flavie irradiait. Une chienne en extase, enragée de plaisir, consumée par une ivresse crue. Dans sa poitrine, son cœur tambourinait comme une alarme. Dans son ventre, c’était le feu. Elle se sentait puissante, monstrueusement puissante, consciente qu’à chaque aller-retour sur ces queues, qu’à chaque coup de langue, elle resserrait inexorablement les chaînes invisibles autour de Clairmont. Et cette détresse qu’elle lisait dans ses yeux, ce mélange de honte, de terreur et d’abandon… elle en jouissait. Littéralement. Sa chatte dégoulinant de gratitude.
Elle aimait son homme. Elle l’aimait d’un amour brut, sans morale ni limites. Elle aimait sa perversité, son esprit obscène, sa façon de la regarder comme un jouet précieux qu’il pouvait souiller, exploiter, utiliser pour assouvir ses envies. Elle ne voulait rien d’autre que lui appartenir, offerte, trempée, soumise… et fière de l’être. Être à lui… c’était ça, le cœur de sa vérité. Elle ne voulait pas seulement être aimée tendrement. Elle voulait être prise. Envahie. Brisée. Et utilisé comme une pute. Bafouée, humiliée et fière de l’être. À genoux, mais invincible dans sa soumission.
Elle adorait la façon dont son homme se servait d’elle, elle était profondément aimée, désirée. Elle se sentait à sa place. La bonne. Et ce soir, elle était sa salope. Sa chienne dévouée, dressée pour obéir, sculptée pour séduire, manipuler, détruire. Une œuvre vivante de vice et de loyauté. Son arme de chair et de salive. Sa créature façonnée à coups de queues, de sévices et de pulsions inavouables. Une arme aussi douce que terrible. Et savoir que tout était filmé, gravé, archivé par l’œil froid de la caméra… savoir que chaque mouvement obscène, chaque filet de salive luisant, chaque râle étranglé… étaient capturés ne faisait que décupler son excitation.
Elle n’était plus seulement vivante. Elle était brûlante, vibrante, nécessaire. Elle se dévouait entièrement à ce rôle d’épouse parfaite, de complice perverse, utilisée pour anéantir un homme trop arrogant. C’était ça, le sens de sa présence.. Pas séduire. Pas donner. Mais briser. Elle suçait comme une arme que son homme dégaine pour tuer en silence. Chaque frémissement qu’elle arrachait à Clairmont, chaque soubresaut involontaire de ses hanches n’était pas un signe de plaisir, mais une reddition. Une preuve qu’il tombait. Qu’il pliait. Et même à genoux, même la bouche envahit par sa queue, c’était elle qui le dominait. Elle ne se contentait pas de le sucer. Elle l’avalait. L’anéantissait lentement, sous le regard machiavélique de son maître.
Dans son esprit en feu, Flavie accueillait cette mission avec fierté, elle était le réceptacle de la volonté de Matthieu, son outil de corruption. Et elle voulait plus. Elle voulait être salie, remplie, façonnée à son image. Elle voulait qu’il la pousse plus loin, qu’il explore les recoins les plus noirs de sa soumission, qu’il fasse d’elle l’objet de ses désirs les plus sombres Chaque goutte de salive, chaque gémissement était une offrande à son homme, une preuve de son amour.
Les toilettes du restaurant étaient une arène où Matthieu orchestrait son plan pervers avec une précision impitoyable. Flavie, à genoux sur le sol carrelé, glacial contre sa peau brûlante, suçait les deux hommes avec une voracité obscène, sa bouche passant d’une queue à l’autre dans une chorégraphie dépravée. Elle les engloutissait, étirant ses lèvres, sa langue s’enroulant autour des glands gonflés, léchant avidement les gouttes qui perlaient à leurs extrémités. Elle alternait en suçant profondément, avalant les membres jusqu’à ce que ses lèvres frôlent leurs couilles, sa gorge s’ouvrant pour accueillir chaque centimètre. Sa langue traçant des cercles humides autour de la base, sa salive dégoulinant sur son menton, gouttant entre ses seins. Par moment elle croisait le regard perçant de Matthieu pendant qu’elle s’acharnait sur sa queue, dure comme l’acier, avec une dévotion fanatique. Elle l’aspirait avec voracité, ses lèvres s’étirant pour l’avaler entièrement, sa langue dansant sur les veines saillantes, sa gorge s’ouvrant pour l’accueillir jusqu’au fond, s’étouffant volontairement pour sentir sa domination. Ses gémissements de chienne en chaleur vibrait autour de sa queue, ses yeux levés vers lui, implorant son approbation. Matthieu empoigna ses cheveux, tirant fermement pour guider ses mouvements, et grogna « C’est bien, montre moi ce qu’une vraie chienne sait faire ».
Clairmont, paralysé par un mélange de terreur et de désir animal, observait la scène, sa queue palpitante, luisante de la salive de Flavie, dressée comme un aveu de sa faiblesse. Matthieu, maître du jeu, exerçait son emprise avec une subtilité cruelle. « Tu croyais pouvoir baiser ma femme en douce pendant que ta Claire joue les épouses parfaites ? » lança-t-il, sa voix basse et tranchante, un sourire aux lèvres. « Imagine. Ta femme pourrait nous surprendre. Elle te verrait, la queue dans la bouche de la mienne. Qu’est-ce qu’elle penserait ? » Clairmont, livide, transpirait, mais sa queue durcissait encore plus, trahissant son excitation malgré cette menace psychologique. Flavie se délectait de ce jeu cruel. L’idée que Claire pourrait se trouver derrière la porte, risquant d’entendre ses gémissements de salope à travers le bois la rendait folle, sa chatte palpitant sous sa robe noire, sa mouille coulant le long de ses cuisses. Ce risque, même imaginaire, l’électrisait, son corps vibrant d’un désir obscène d’être exposée comme la chienne de Matthieu.
Dans son rôle d’actrice, Flavie jouait la comédie à chaque fois que son homme la traitait de pute, baissant les yeux avec une fausse honte. « Je… je suis désolée… » murmurai-t-elle d’une voix brisée, ses lèvres gonflées et luisantes de salive, son regard implorant un pardon qu’elle ne désirait pas. Cette feinte soumission, destinée à enfoncer Clairmont plus profondément dans le piège, faisait pulser son clito, son esprit en feu à l’idée de manipuler cet homme pour son maître.
D’un mouvement autoritaire, Matthieu la releva du sol, ses doigts serrant sa nuque avec une force contrôlée. « Debout sale chienne » cracha-t-il, sa voix vibrant d’une autorité qui la fit trembler d’excitation. Il la positionna face au lavabo, une main de chaque côté, la penchant en avant, remontant sa robe noire jusqu’à sa taille pour révéler son cul, nu sous le tissu, exposant sa chatte luisante et son anus serré. Matthieu, avec un rictus de satisfaction, lui asséna une série de claques brutales sur les fesses, chaque coup résonnant comme un fouet, laissant des marques écarlates qui brûlaient délicieusement. Flavie hurla, une douleur cuisante se mêlant à un plaisir viscéral, son esprit s’enflammant, elle adorait être traitée comme une pute, un objet pour le plaisir sadique de son homme. « Regarde le cul de cette grosse salope » lança Matthieu, ponctuant ses mots d’une nouvelle claque si forte qu’elle fit vaciller Flavie, ses mains crispées sur le lavabo. « C’est ça que tu voulais Clairmont ? Une salope prête à se faire défoncer. Vas-y, baise-la. Enfonce ta queue dans sa chatte et baise-la comme la pute qu’elle est ».
Clairmont s’avança, sa queue à la main, luisante d’excitation et de salive. Il s’enfonça en elle d’un coup de reins brutal, son sexe écartant les lèvres gonflées de sa chatte, qui se resserra sur lui comme un piège. Ses parois chaudes et trempées l’enserrant avidement. Flavie gémit bruyamment, son corps secoué, ses mains griffant le bord du lavabo. Elle cambra le dos, offrant son cul encore plus, ses parois convulsant autour de la queue de Clairmont à chaque poussée. Il baisait avec une intensité maladroite mais désespérée, ses hanches claquant contre son cul, sa queue plongeant profondément, s’imposant en elle, son gland cognant au fond de sa chatte. La mouille de Flavie coulait abondamment, dégoulinant sur ses cuisses, chaque coup de reins produisant un bruit humide, flasque, obscène. Elle jouait son rôle, gémissant comme une salope, ses cris exagérés pour le pousser à bout.
Matthieu le regard fixé sur elle, comme un prédateur jaugeant son jouet préféré. Attrapa son menton d’une poigne ferme, presque brutale, la forçant à tourner la tête pour le regarder. Ses yeux plongèrent dans les siens, il n’y avait aucune tendresse, seulement une possession glaciale, souveraine. Puis, sans prévenir, sa main claqua contre sa joue dans une gifle cinglante, obscène, marquant sa peau comme un sceau. Flavie vacilla, haletante, les pupilles dilatées d’un plaisir mêlé de douleur. Et dans un geste aussi dégradant qu’exquis, il lui cracha au visage. Un crachat chaud, épais, visqueux, qui dégoulina avant de terminer au bord de ses lèvres, gonflées et souillées par les queues qui avait déformé sa bouche. Elle ouvrit la bouche, ferma les yeux une seconde, le souffle coupé. Et un nouveau jet de salive s’écrasa sur sa langue. Elle sourit et l’avala comme une chienne bien dressée. « Je veux t’entendre réclamer ! ». Sa voix était tranchante, presque calme, mais ça la déchirait de l’intérieur. Flavie en tremblait. Ses cuisses ruisselaient. Elle n’existait plus que pour ce moment, pour cette honte, pour ce plaisir. Pour lui.. Il n’exigeait pas. Il ordonnait. Et elle, esclave dévouée, s’exécuta aussitôt « Je t’en supplie.. baise-moi.. défonce-moi.. ». Ses yeux brillants de larmes mêlées à la jouissance, la voix tremblante mais pleine de cette ferveur crue qui faisait d’elle son œuvre la plus précieuse.
Mais après quelques minutes, Matthieu grogna, sa voix distillant son mépris avec une précision perverse. « Tu baises ma pute comme si t’avais peur de la casser » cracha-t-il, son regard brûlant de domination. « Cette chienne mérite mieux qu’un rythme de bureaucrate. Sors de là, je vais te montrer comment tu dois la baiser » Clairmont se retira, sa queue glissant hors de la chatte de Flavie avec un bruit obscène, un filet de visqueux coulant sur ses cuisses. Matthieu prit sa place, empoignant d’une main les hanches de Flavie, ses doigts s’enfonçant dans sa chair jusqu’à laisser des marques violettes. Il claqua son cul avec une sauvagerie déchaînée, une rafale de coups qui firent jaillir des larmes de plaisir et de douleur, son cul rougeoyant comme une braise, chaque claque résonnant dans la pièce comme un défi. Puis, d’un coup de reins féroce, il s’enfonça en elle jusqu’aux couilles, sa queue écartant sa chatte, la remplissant si brutalement qu’elle cria, son corps secoué comme une poupée de chiffon. Matthieu la baisait avec une sauvagerie lubrique, ses coups de reins profonds et implacables, sa queue plongeant à un rythme effréné, frottant contre chaque point sensible de sa chatte, son gland cognant contre son col avec une force qui envoyait des éclairs de plaisir à travers tout son corps. Il empoigna ses cheveux, tirant sa tête en arrière pour exposer sa gorge, et grogna « T’es une vraie pute ! T’aimes te faire défoncer. » Ses hanches claquaient contre son cul, chaque impact produisant un bruit humide et obscène, sa mouille giclant à chaque coup, trempant ses cuisses et le sol.
Flavie s’agrippait au lavabo comme si sa vie en dépendait, pendant que son corps, lui, se consumait dans un brasier obscène. L’orgasme montait en elle comme une déferlante, une tempête dévastatrice prête à tout ravager. À chaque coup de reins, Matthieu l’enfonçait plus loin dans sa folie. Sa queue, dure, rageuse, labourait sa chatte sans aucune pitié, cognant au fond comme pour la marquer de l’intérieur, la posséder jusqu’au fond de ses entrailles. Son esprit s’embrasait, consumé par l’amour pervers qu’elle ressentait pour cet homme qui la baisait comme une vulgaire chienne. La voix tremblante, volontairement plaintive, elle joua son rôle et gémit entre deux halètements « Pardon, Matthieu… je suis une mauvaise fille… une sale petite chienne… » Et dans le même souffle, elle cambra davantage son cul, pour accueillir chaque coup de reins, les parois de sa chatte irradiant de plaisir. Ses jambes flanchaient, ses cuisses ruisselaient, sa bouche n’émettait plus que les gémissement obscène, d’une salope trop bien baisée.
Elle adorait cette violence. Etre baisée sans ménagement. Etre traitée comme la dernière des salopes. Elle avait envie de crier plus fort. D’implorer. De se faire entendre. D’être surprise par Claire. Dévoilée. Honteuse. Qu’elle la regarde corrompre son homme. Qu’elle découvre sa voisine de table gémissant comme une pute en chaleur… cette idée faisait vibrer son clito comme un fil électrique.
Soudain, Matthieu se retira brutalement, sa queue ruisselante de mouille, nappée du jus de Flavie. Elle luisait comme une arme encore chaude sous la lumière tamisée des toilettes. Un filet s’étira entre eux, obscène, tremblant, avant de se rompre et de s’écraser sur la cuisse de Flavie. Elle resta cambrée, offerte, haletante, le cul grand ouvert, la chatte béante, avide, encore palpitante des coups de queue qu’elle venait d’encaisser. Matthieu se retourna, et planta son regard sur Clairmont. Ce dernier se branlait sans vergogne, la main crispée sur sa queue, les yeux écarquillés, bouche entrouverte, le souffle erratique. Il était totalement sous emprise, entre panique et désir. La caricature d’un chien en rut ne pensant plus qu’à baiser.« A toi, Clairmont, » lança Matthieu, d’une voix calme et tranchante comme une lame, empreinte d’un mépris glacé. « Vas-y. Prends-la. Défonce ma chienne comme elle le mérite. T’as vu ce qu’elle attend de toi ! »
Flavie ne bougea pas. Elle resta cambrée, dos creusé, cul levé, chatte dégoulinante, impatiente d’être utilisée. Son silence était un appel. Une supplique muette, impudique. Elle voulait être prise. Par n’importe qui. C’était son homme qui lui imposait. Elle adorait ça. Elle en voulait encore. Clairmont s’approcha, la queue dressée, tendue comme une barre de fer, luisante de sa propre excitation. Ses mains tremblaient, son souffle était haché, mais son corps, lui, obéissait. Il posa ses doigts sur les hanches de Flavie, la regarda une fraction de seconde à travers le miroir, puis s’enfonça en elle d’un coup sec, presque brutal. Un grognement rauque lui échappa. Sa queue glissa dans cette chatte trempée comme dans une gueule affamée, happée jusqu’à la garde. Et aussitôt, les parois chaudes de Flavie se refermèrent sur lui comme un piège vivant, serré, gluant, palpitant. Elle l’avalait tout entier, comme si son corps refusait de le laisser ressortir.
Matthieu l’encourageait « Montre-moi jusqu’où t’es capable d’aller, Clairmont. Tu la veux depuis le début, pas vrai ? Alors défonce là ! » Clairmont se mit à la pilonner avec une intensité désespérée, des coups de reins d’homme perdu, affamé, prêt à tout oublier.. sa femme, sa dignité, l’homme qui les regardait, les risques qu’il prenait. Il ne restait plus que le bruit humide, obscène, des corpss qui s’entrechoquaient. Et Flavie, elle, gémissait comme une pute ravie, bougeant le bassin pour mieux l’engloutir, amplifiant chaque claquement, chaque râle, chaque giclée de mouille qui éclaboussait leurs cuisses. Clairmont la baisait avec une rage retenue, un mélange de frustration, de honte et de désir brut qui explosait dans chacun de ses coups de reins. Ses hanches claquaient contre le cul rebondi de Flavie dans un rythme sec, brutal, animal, les bruits de chair contre chair résonnant comme une série de gifles obscènes.
Sa queue glissait profondément dans cette fente inondée, chaque poussée déclenchant une série de frissons incontrôlables dans tout le corps de Flavie. Son gland cognait au fond, là où elle était la plus vulnérable, la plus réceptive, déclenchant des secousses humides à chaque impact. Flavie gémissait, secouée de spasmes, les mains crispées sur le lavabo comme pour s’ancrer à la réalité. Ses jambes tremblaient sous l’intensité, sa chatte ruisselait, chaque coup de reins de Clairmont la faisant gicler davantage. Elle exagérait ses râles, mimant la détresse avec une précision perverse, le ton tremblant, dégoulinant d’une honte jouée à la perfection « Pardon, Matthieu… je ne voulais pas être une pute… » Matthieu s’approcha lentement, tel un bourreau caressant sa victime avant le châtiment. Et d’un geste sec, il la gifla avant de lui saisir le cou pour l’étrangler. Un claquement net, violent, qui fit tourner sa tête, avant que son souffle en soit coupé. « Tu mens mal, salope, » grogna-t-il. « T’en crèves d’envie. Regarde-toi. T’es trempée comme une pute en chaleur. » Flavie haleta, la joue en feu, la chatte en transe, le regard embué d’excitation. Cette gifle, cette violence, ce jugement, l’asphyxie… toutes ces sensations la traversant comme un orgasme suspendu.
Sa gorge brûlait, l’odeur du chlore remontait dans ses narines, ses poumons se contractaient, implorant de l’air. Et elle s’abandonnait à cette douce suffocation, cette tension délicieuse entre le plaisir pur et l’asphyxie. Et pendant ce temps, Clairmont la baisait sans relâche, ses coups de reins brutaux, ininterrompus, secouant tout son corps, ses couilles claquant contre son cul avec la régularité d’un marteau. Chaque poussée lui arrachait un tremblement, un frisson, une contraction de plus dans sa chatte ruisselante. Le bruit sec des claques que lui assénait Matthieu de sa main libre répondait comme écho obscène, au coups de reins qu’elle encaissait. Elle adorait cette brutalité. Ce mélange de violence et de possession. Chaque strie sur sa joue la liait davantage à son homme, comme si son visage lui appartenait autant que son cul ou sa gorge « Regarde-toi… » grogna Matthieu entre ses dents. « Une vraie pute. Et tu souris presque salope… » Et c’était vrai. Ses lèvres tremblaient… mais le coin de sa bouche, se soulevait. Un rictus minuscule, honteux, magnifique. Matthieu l’aimait d’un amour absolu, un amour qui se nourrissait de cette façon unique qu’elle avait de s’offrir à lui. Il l’aimait dans chaque frisson qu’il provoquait, dans chaque larme de plaisir qu’il faisait couler sur ses joues rougies, dans chaque tremblement de sa voix quand elle le suppliait d’aller plus loin, de la prendre plus fort, de la briser un peu plus. Elle était sa drogue, sa fièvre, sa créature façonnée sur mesure, et il n’y avait rien de plus jouissif que de la soumettre à ses pulsions…
Clairmont accéléra, haletant, les muscles tendus, le front perlé de sueur. Il la baisait avec tout ce qu’il lui restait, les reins cognant contre le cul ruisselant de Flavie, sa queue tremblante prisonnière de cette chatte trop chaude, trop serrée, trop vivante. Il grognait, les mâchoires crispées, le visage tordu par un mélange de jouissance et d’épuisement. Il donnait tout. Vraiment tout. Mais ça ne suffirait jamais. Matthieu l’encourageait, tout en riant à gorge déployée, savourant le spectacle d’un homme en train de se consumer dans une chatte qui ne lui appartenait pas. Il n’eut pas besoin d’un mot pour comprendre que Clairmont était au bord de l’effondrement. Son souffle se brisait. Son corps ralentissait. Il était vidé, dépassé, pris au piège de sa propre faiblesse. « Sors d’elle. Maintenant. » La voix de Matthieu claqua dans l’air comme un ordre militaire.
Clairmont obéit aussitôt, pantelant, sa queue dégoulinante quittant lentement la chatte de Flavie, avec un bruit mouillé, obscène. Il recula, tremblant, le regard encore perdu dans la vision de cette femme cambrée, le cul offert, luisant de sueur et de mouille. Matthieu lui d’un ton sec « Allonge-toi, là. Sur le sol. » Clairmont obtempéra, presque docile. Il s’écroula sur le carrelage froid, les yeux écarquillés, vidé, fasciné, sa queue dressée comme un mât au milieu de la pièce, palpitante sous la lumière crue. Matthieu attrapa Flavie par les cheveux, un poing serré dans sa crinière humide, ses doigts s’enroulant dans ses mèches avec une autorité qui la fit frissonner.
Elle adorait cette prise, cette emprise, cette manière qu’il avait de lui rappeler, sans un mot, à qui elle appartenait. Sa main libre claqua violemment contre son cul, déjà écarlate des assauts précédents. Le claquement résonna comme une sentence, suivie d’un tremblement incontrôlé de ses cuisses. Flavie laissa échapper un gémissement, mélange brûlant de douleur et d’extase, son clito pulsant frénétiquement contre le bord froid du lavabo. Il la tira par les cheveux, la redressa d’un geste sec, la manipulant comme une poupée sans volonté. Puis, sans douceur, il la fit pivoter et l’amena au-dessus de Clairmont, toujours allongé au sol, le regard perdu, sa queue dressée, luisante de mouille. L’ordre tomba, tranchant « Empale‑toi, et regarde‑moi pendant que tu le fais. Que je voie ton regard de chienne ».
Flavie obéit, le souffle saccadé, brûlante d’envie. Elle écarta lentement les cuisses au-dessus de Clairmont, se positionna, et guida sa queue à l’entrée de sa chatte. Elle sentit son gland glisser contre ses lèvres, rouge d’excitation, prête à accueillir n’importe quelle intrusion. Puis, elle releva la tête pour croiser le regard de son homme, et la fit pénétrer lentement… très lentement… jusqu’à s’empaler entièrement, l’avalant jusqu’aux couilles. Ses mains se posèrent sur le torse de Clairmont pour s’équilibrer, ses ongles griffant légèrement sa peau, tandis qu’elle commençait à bouger les hanches, chevauchant sa queue avec une voracité perverse. Elle venait de s’empaler entièrement. Non pas sur l’homme au sol. Mais sur l’ordre de celui qu’elle aimait.
Matthieu se plaça devant elle, implacable, dominant la scène d’un regard noir. La queue raide, tendue à l’extrême, luisant de mouille. Il la plaqua sans un mot contre les lèvres entrouvertes de Flavie, lui arrachant un souffle de surprise à peine audible. Puis, d’un geste sec, il empoigna sa tête à deux mains, l’encadrant fermement, et empala son visage sur son sexe.
Il ne lui laissa aucune échappatoire. Sa queue s’enfonça d’un seul coup, profond, brutal, la faisant gémir étouffée, la gorge déjà envahie par l’intrusion. Elle n’avait pas le temps de respirer, pas le droit de reculer. Il l’utilisait. Sans respect. Comme une salope docile et bien dressée, un simple trou à remplir pendant qu’elle était empalée sur une autre queue.
Sa gorge se contractait autour de lui, étranglée par la profondeur, et déjà des larmes perlaient au coin de ses yeux, trahissant le combat de son corps face à l’usage qu’on faisait d’elle. De la bave dégoulinait de sa bouche distendue, salissant les couilles de Matthieu à chaque va et vient maîtrisé, sale, méthodique. Il la tenait. Il la baisait comme on baise un objet. Et elle adorait ça.
Matthieu se retira d’un coup sec, libérant sa gorge dans un gargouillis obscène, la laissant haletante, la bouche encore grande ouverte, luisante de salive. Des filets visqueux pendaient de sa langue à son menton, preuve de l’usage qu’il venait de faire de sa bouche.
Il la regarda un instant, le souffle lourd, avant de lui cracher. Un jet épais, salé, s’écrasa contre sa joue et dégoulina lentement vers ses lèvres déjà souillées. L’humiliation était totale. Et pourtant, Flavie frissonna de plaisir, les yeux mi-clos, savourant chaque instant.
Leurs regards se croisèrent. Le sien, brûlant, impitoyable, la transperça comme une lame. Elle, les larmes aux yeux, le souffle encore coupé, ne cilla pas. Elle aimait qu’il la traite comme une pute. Comme sa possession. Et elle joua son rôle à la perfection. « Pardon… » murmura-t-elle d’une voix brisée, entre deux gémissements, pendant qu’elle remuait le bassin avec lenteur, sa chatte s’empalant sur Clairmont, son clito frottant contre lui à chaque mouvement, déclenchant des décharges de plaisir de plus en plus incontrôlables.
Elle avait la gorge brûlante, la chatte pleine, les joues souillées, et elle n’avait jamais été aussi vivante.
Sous elle, Clairmont avait retrouvé sa vigueur. Ses mains cramponnées à ses hanches semblaient vouloir la clouer sur place, la posséder jusqu’à la moelle. Flavie se redressa légèrement, cambrée, le dos offert, laissant sa chatte s’ouvrir plus grand encore à ses coups de reins frénétiques. Il la pilonnait avec l’énergie du désespoir, cherchant à s’ancrer en elle comme s’il craignait de disparaître, chaque poussée plus dure, plus animale, plus affamée.
Elle le montait comme une vraie chienne en rut, ses cuisses claquant bruyamment contre son bassin dans un rythme obscène. Elle haletait, fiévreuse, les yeux mi-clos, brûlée de l’intérieur par l’ivresse perverse du pouvoir. Clairmont n’était rien. Juste un corps à exploiter, une queue à traire. Il gémissait, suppliant sans un mot, asservi, réduit à un objet.
Et pendant qu’elle l’avalait avec sa chatte, Matthieu, continuait d’utiliser sa bouche sans douceur. Lorsqu’elle semblait manquer d’air, il se retirait pour la frapper avec sa queue, ou se branlait contre son visage, la souillant avec un plaisir sadique. Puis il revenait s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge, implacable.
Dans un coin de son esprit, elle imagina la porte s’ouvrir, Claire découvrant son mari impuissant, se faisant chevaucher comme un vulgaire objet, sa queue disparaissant dans la chatte trempée d’une salope qui gémissait sans retenue.
Ce fantasme la fit basculer. Sa chatte pulsa autour de la queue de Clairmont, chaque contraction le pressant plus fort, plus profond. Elle sentait son souffle se briser, ses muscles se tendre, le râle au bord des lèvres. Elle jouissait déjà, une vague brutale, sauvage, l’emportant toute entière, l’arquant sous la violence de son orgasme.
Elle se laissa faire, corps abandonné, pantin de plaisir figé au cœur de la tempête. Clairmont limant sa chatte, comme un animal désespéré, pendant que Matthieu bloquait son visage et utilisait sa bouche sans ménagement. Elle savourait chaque seconde, chaque râle, chaque impact, gorge grande ouverte, cuisses écartés, ses gémissements étouffés par la queue de son homme, jusqu’à la dernière secousse, jusqu’au vertige. Matthieu en profita, accélérant la cadence, ses hanches claquant contre son visage avec brutalité. Sa queue cognait violemment au fond de sa gorge, déclenchant des haut-le-cœur étouffés, transformant chaque va et vient en un délicieux supplice. Elle bavait abondamment, incapable de suivre le rythme, sa salive dégoulinant en longs filets visqueux sur son menton, avant d’éclabousser le torse de Clairmont, déjà ruisselant de sueur.
Sa bouche n’était plus qu’un orifice utilisé, ravagé par l’excitation de son homme, et elle l’acceptait avec une dévotion obscène. Ses yeux embués cherchaient le regard de Matthieu, l’implorant silencieusement qu’il la prenne encore plus fort, qu’il l’utilise jusqu’au bout. Chaque fois qu’il l’enfonçait un peu plus, il sentait sa gorge lutter pour l’avaler, ses yeux s’embuer, ses joues creuses aspirant avec dévotion. Sa langue, docile et habile, glissait le long des veines tendues de son sexe, les caressant, les léchant, les adorant presque. Il baisait sa bouche comme on prend possession d’un trou offert, sans tendresse, sans pitié. Seulement avec une faim de mâle sur le point d’éclater.
Chaque coup de reins était une revendication, une affirmation brutale de qui avait le contrôle, et Flavie s’y abandonnait avec une dévotion obscène. Il grognait, haletant, les dents serrées « Regarde toi ! T’aimes te faire défoncer. T’es faites pour ça. » Flavie suffoquait presque, incapable de répondre, la bouche remplie, la gorge violée, mais ses yeux parlait pour elle. Grands ouverts, noyés de larmes et de luxure, fixés sur Matthieu avec une supplique muette. Encore. Plus fort. Plus sale. Plus pervers. Elle venait de jouir, mais sa jouissance ne cessait d’irradier. Sa chatte était en feu, offerte et insatiable. Elle voulait se faire prendre le cul. Elle voulait qu’il la possède jusqu’à la briser. Qu’ils se vident en elle, sur elle, partout, comme s’ils ne pouvaient plus faire autrement.
Puis, dans un râle étouffé, Matthieu se retira brutalement de sa bouche. Sa queue jaillit d’entre ses lèvres entrouvertes, luisante de salive filante, palpitante, gonflée de désir. Un filet de bave se balança paresseusement de son gland jusqu’au menton de Flavie. Sans un mot, il contourna son corps en feu, se glissant derrière elle pendant qu’elle restait empalée sur Clairmont, profondément enfoncé dans sa chatte. Les hanches de ce dernier continuaient à bouger frénétiquement sous elle, incapable de s’arrêter, haletant, possédé. La chatte de Flavie convulsait de plaisir, ruisselante, insatiable.
Matthieu écarta ses fesses avec autorité, exposant son trou serré déjà ouvert, offert, puis se pencha et cracha directement dessus. Il le badigeonna de salive, faisant frémir Flavie d’impatience. Elle était comme électrisée, une vague de plaisir remontant son échine. Ce simple contact déclencha une onde de feu dans son ventre. Elle ne pouvait plus penser. Il cracha sur ses doigts et les enfonça dans la chair tendre, encore marquée par les gifles qu’il lui avait infligées plus tôt. Elle les sentait l’envahir, impatiente de sentir sa queue à leur place. Tout son être était suspendu à ce moment, à cette promesse brutale d’être prise encore plus profondément, plus salement.
Elle était dans l’attente, soumise, le cul bien cambré, le cœur battant la chamade, sa chatte, toujours empalée sur une queue. Elle voulait qu’on l’utilise. Qu’on la prenne comme une chose. Et rien ne l’excitait davantage que l’idée de sentir le sexe de son homme forcer l’entrée de son cul, l’écarteler complètement. Matthieu plaqua sa queue à l’entrée, le gland écrasant l’anneau étroit, insistant sans ménagement. Puis, dans un grognement, il enfonça ses hanches d’un coup sec, impérieux, déchirant la résistance de son trou avec un râle de plaisir. Sa queue s’enfonça profondément, écartant ses chairs tendues centimètre après centimètre, jusqu’à s’enfouir tout entière au fond de son cul.
Flavie hurla, un cri rauque, guttural, presque inhumain, résonnant contre les murs étroits des toilettes. Son dos se cambra violemment, chaque muscle contracté sous le choc de cette double intrusion. Elle était empalée, prise de part en part la queue de Clairmont pulsait dans sa chatte trempée, frottant contre ses parois en feu, pendant que celle de son homme forçait son cul avec une lenteur cruelle, l’élargissant jusqu’à la déraison. La douleur était là, vive, coupante, mais noyée dans une marée de plaisir lubrique, viscéral, fulgurant. Ses membres tremblaient, ses mains agrippées à Clairmont, incapable de fuir, incapable même de supplier. Chaque mouvement des deux hommes la faisait frissonner, gémir, suffoquer de plaisir Elle n’était plus qu’une pute, utilisé, baisé dans chaque orifice, et c’était précisément ce qu’elle voulait. Ce qu’elle réclamait.
La double pénétration était un chaos délicieux, une déflagration de sensations qui la submergeait entièrement. Chaque fibre de son corps hurlait sous le choc de cette possession totale, brûlée par le mélange de douleur et de plaisir obscène. Elle n’était plus qu’un objet de plaisir, un corps offert, utilisé. Clairmont s’accrochait à ses hanches comme à une bouée, la pilonnant avec une frénésie pathétique, désespérée. Ses coups de reins remontaient avec violence, faisant claquer leurs bassins dans des bruits de chair trempée. Sa queue, tendue, s’enfonçait au plus profond de sa chatte, cognant avec régularité contre son col, chaque impact déclenchant un spasme, un cri étranglé, une secousse incontrôlée.
Derrière elle, Matthieu ne relâchait pas sa prise. Sa queue glissait dans son cul avec une lenteur volontaire, brutale, la forçant à encaisser chaque centimètre comme une punition jouissive. Flavie n’avait plus d’air, plus de mots. Elle gémissait, suffoquait, haletait comme une chienne montée par deux mâles en rut. Et elle adorait ça.
Ses parois trempées, brûlantes, se contractaient autour de la queue de Clairmont comme un étau vivant, un piège de chair affamée qui semblait vouloir le dévorer entier. À chaque coup de reins, sa mouille jaillissait en éclaboussures obscènes, giclant contre ses propres cuisses, maculant les couilles de Clairmont d’un mélange gluant de cyprine et de foutre en devenir. Le bruit était sale, indécent. Un clapotis humide, régulier. Elle dégoulinait littéralement, inondée par son propre plaisir. Matthieu se déchaînait, la baisant avec une sauvagerie débridée, purement animale. Ses hanches frappaient contre son cul en rythme. Sa queue, gonflée de rage, s’enfonçait jusqu’à la garde à chaque coup, ses couilles venant heurter sa chatte et la queue qui la limait. Elle était secouée, pilonnée, humiliée et divinement remplie. Tous ses orifices palpitaient, étaient dilatés, dégoulinaient, aspirant chaque queue avec une frénésie lubrique.
Chaque coup de reins dans son cul était une déclaration de possession. Sa queue l’ouvrait à la limite de la déchirure, forçant ses parois serrées à s’écarter, à céder centimètre par centimètre. La douleur, vive et brûlante, se transformait en une jouissance profonde, primitive, qui la faisait hurler à chaque coup de rein, la gorge nouée par l’extase. Elle était écartelée, ruisselante, vibrant de plaisir sous cette double intrusion. La fine membrane qui séparait les deux sexes transmettait chaque pulsation, chaque frottement. Elle les sentait glisser l’un contre l’autre à travers elle, leurs queues comprimées dans cet espace trop étroit, leurs va et vient se synchronisaient parfaitement, créant une friction insoutenable. Une onde de chaleur pure déferlait en elle à chaque impact, chaque contact, chaque frisson.
Son corps était un champ de bataille, chaque nerf en feu, chaque fibre prête à éclater sous l’intensité du plaisir. Elle était remplie, dévastée, possédée, et son esprit s’effaçait dans un tourbillon de gémissements et de jouissance coupable, suspendue au bord d’un orgasme qui promettait de la briser. Elle était le centre de cette tempête obscène, un jouet humain, réduit à l’état de réceptacle gémissant, et elle n’aurait échangé sa place pour rien au monde. Chaque coup de reins envoyait des ondes électriques dans tout son être, la secouant de spasmes incontrôlables. Son clito, gonflé à l’extrême, frottait à chaque pénétration contre le bassin de Clairmont, déclenchant à chaque contact une décharge plus forte, plus aiguë, plus urgente.
Matthieu, maître de la scène, grognait ses ordres d’une voix, vibrante d’un désir brutal, saturée de vice « Plus fort Clairmont. Défonce la chatte de cette petite pute. Qu’elle crie pour que Claire l’entende ! » Matthieu empoigna violemment les hanches de Flavie, ses doigts s’enfonçant dans sa chair moite avec une force démesurée, assez pour y laisser des empreintes violacées. Puis, sans attendre, il reprit ses coups de reins dans son cul, l’ouvrant avec une frénésie sauvage, sa queue pilonnant sans relâche, glissant profondément, cognant presque à chaque va et vient contre celle de Clairmont à travers la fine paroi qui séparait ses deux trous.
Ce son obscène se mêlait aux éclaboussures humides de sa chatte dégoulinante et aux cris rauques, bestiaux, que Flavie laissait exploser sans aucune retenue. Ses hurlements, bruts et déchirés, emplissaient les toilettes, rebondissant contre les murs carrelés dans une symphonie sauvage de luxure et de perversion. Son corps n’était plus qu’un tremblement. Une marée de spasmes incontrôlables secouait ses muscles à chaque nouvelle intrusion. Les orgasmes se succédaient sans répit, violents, destructeurs, en vagues brûlantes qui lui coupaient le souffle. Sa chatte palpitait autour de la queue de Clairmont, se contractant comme un étau, pendant que son cul, violemment défoncé par Matthieu, se resserrait en une étreinte convulsive.
Clairmont la baisait avec une rage contenue, fébrile, presque douloureuse, comme s’il avait besoin de la remplir pour exister. Ses hanches martelaient vers le haut, sa queue remontant en elle avec une force désespérée, frottant sans relâche contre ses parois hypersensibles. Son gland venait cogner au fond de sa chatte à chaque poussée, déclenchant en elle des frissons de plaisirs incontrôlables. Matthieu martelait son cul avec brutalité, sa queue forçant ses parois à s’écarter pour l’acceuillir entièrement. Chaque coup la faisait gémir, hurler, d’un mélange indissociable de douleur et de plaisir. Son gland venait cogner profondément, encore et encore, jusqu’au fond de ses entrailles, là où l’interdit devient jouissance.
Mais ce qui la rendait folle, c’était cette friction, sentir ces deux queues frotter dans ses entrailles, séparées seulement par une mince paroi de chair. Elle les sentait glisser l’une contre l’autre en elle, comprimées, gorgées, se battant pour l’espace. Elle n’était plus Flavie. Elle était une esclave, dont la seule fonction était d’être remplie, écartelée, réduite à sa fonction la plus primitive. Se faire baiser. Son clito, écrasé sur Clairmont, palpitait furieusement, envoyant des décharges à travers son ventre, sa poitrine, jusqu’au bout de ses doigts. Ses jambes tremblaient sous elle, prêtes à céder, incapables de soutenir la pression, le vertige, la jouissance incessante. Elle hurlait de plaisir, des salves de gémissements désespérés, le corps pris entre deux queues,remplie à en perdre la raison.
Son esprit était en feu, ravagé par un brasier de luxure et de dévotion obscène. Chaque coup de reins, chaque claquement, alimentait l’incendie qui la consumait. Elle brûlait pour Matthieu, pour cet homme qui la traitait comme sa pute, sa salope, sa chienne dressée pour détruire un autre mâle à coups de reins et de gémissements salaces. Elle adorait ça. Être son arme. Son outil de domination. Son piège vivant. Allongé sous elle, Clairmont n’était qu’une proie prise au piège de sa chatte affamée, sa queue captive au fond de sa chatte. Il croyait encore participer. Mais c’était Matthieu qui dirigeait tout. C’était lui qui l’utilisait, qui la manipulait, qui défonçait son cul avec une brutalité calculée, réduisant son corps à un jouet à double entrée, une extension de sa volonté.
Flavie jouissait d’être ce levier, ce corps offert, cette salope dressée à chevaucher pendant qu’on lui défonce le cul, brisant lentement, méthodiquement, l’homme sous elle. Chaque gémissement qu’elle arrachait à Clairmont, chaque contraction de sa chatte autour de sa queue, chaque spasme de plaisir volé n’était qu’un pas de plus vers l’humiliation finale. Et elle en vibrait de plaisir. Sa chatte se contracta de nouveau avec violence autour de la queue de Clairmont, la pressant comme pour lui voler jusqu’à la dernière goutte. Son cul, arqué, cambré avec indécence, subissait les assauts de son homme d’une violence presque possessive. Elle continuait de jouer son rôle à la perfection, celui de la chienne soumise, de la poupée offerte. La gorge nouée par la jouissance, elle souffla d’une voix tremblante, entre deux cris de pure extase « Pardon… Matthieu… je suis une salope… » Chaque mot qu’elle prononçait vibrait entre ses gémissements comme un aveu de ses péchés. Sous elle, Clairmont écarquilla les yeux à ces mots, le visage comme écartelé entre la jouissance et un désir trouble, irrépressible, qu’il ne comprenait pas totalement. Il l’entendait s’excuser pendant quelle se faisait baiser. Elle n’était pas à lui. A ses yeux elle était utilisée, transformée en salope à cause de lui, et cette vérité, aussi brutale que dégradante, le poussait au bord de l’orgasme… de la capitulation.
Il l’entendait supplier, haleter, murmurer des excuses entre deux gémissements arrachés à sa gorge. « Pardon… je suis une salope… » Chaque mot lui vrillait le crâne, comme une lame plantée lentement dans son orgueil.
Elle n’était plus la femme qu’il avait voulu séduire, qu’il croyait pouvoir conquérir. Elle n’était plus cette proie flattée, à moitié domptée. Non. Elle était devenue autre chose. Une pute offerte. Une chienne docile, empalée entre deux queues, baisée sans répit, et qui gémissait comme si elle était faite pour ça. Et dans sa tête, une vérité immonde prenait racine.. c’était de sa faute. C’était lui qui l’avait amenée là. Lui qui avait ouvert la porte. Et pourtant elle appartenait à un autre.
Il la voyait se cambrer pour Matthieu, se frotter sur sa propre queue comme si elle n’en avait même plus conscience, comme si son plaisir n’avait plus rien à voir avec lui. Son cul ouvert s’offrait à un autre homme, sans pudeur, sans résistance, et sa chatte, pourtant remplie par sa queue, se contractait comme s’il n’était qu’un figurant. Il aurait dû se sentir vainqueur. Il n’y trouva qu’une perte. Un échec. Mais il ne voyait pas.
Il ne voyait pas que chaque mot qu’elle soufflait, chaque soupir exagéré, chaque regard qu’elle lui lançait, faisaient partie du piège. Elle le conduisait. Elle l’offrait à Matthieu. Elle jouait la salope, oui, mais pour le briser. Il n’était pas un amant. Il n’était même pas un rival. Il était devenu un accessoire. Une queue parmi d’autres. Utile uniquement pour amplifier son humiliation, pour renforcer son sentiment d’impuissance. Il croyait la prendre, alors qu’il était pris. Et ce rôle… il ne pouvait plus s’en échapper. Parce qu’une part de lui, la plus sombre, la plus honteuse, ne pensait qu’à baiser cette femme.
Et c’est là, alors que Clairmont était désorienté, qu’elle eu un nouvel orgasme. Une onde, brutale qui explosa dans son ventre comme une décharge insoutenable. Ses cuisses se contractant violemment, ses jambes tremblant sous elle comme si elles ne pouvaient plus la soutenir.
Sa chatte se crispait sur sa queue, comme pour l’immobiliser, le faire disparaître dans sa jouissance. Et au sommet de cette déferlante, Matthieu continuait de lui donner de grand coup de queue qui secouait son corps à un rythme implacable. Les mains de Flavie griffèrent l’air, le sol, tout ce qu’elle pouvait toucher, tandis que son dos se cambrait à l’extrême, offerte, crucifiée par l’extase. Chaque impact, pulsait si fort qu’elle en pleurait de plaisir. Elle aimait Matthieu. À s’en damner. Parce qu’elle était à lui. Corps et âme, orgasme compris. Ses larmes coulaient, incontrôlables, pas seulement de plaisir, mais de bonheur. Elle jouissait pour elle, pour lui. Et elle aurait voulu que ça ne s’arrête jamais.
Et en même temps, elle cambrerait plus fort, tendant son cul pour mieux encaisser les coups, pour les sentir plus profonds, plus vrais. Ses parois se refermaient sur eux, vivantes, assoiffées, pendant que son clito, gonflé à l’extrême, explosait à chaque frottement, chaque impact, chaque décharge. Elle ne jouissait plus… elle implosait.
Ses jambes tremblaient sous elle, prêtes à céder, incapables de soutenir la pression, le vertige, la jouissance montante. Elle hurlait, une salve de cris rauques et désespérés, le corps pris entre deux queues, tendue au bord de l’implosion, suspendue à cette sensation impossible. Remplie à en perdre la raison.
Cette friction, cette plénitude, était presque insoutenable, amplifiant chaque sensation jusqu’à la limite de l’extase.
Son esprit était un brasier, consumé par l’amour pervers qu’elle ressentait pour Matthieu, qui l’utilisait comme une pute, la baisant en double pour piéger Clairmont. Elle adorait être son arme, sa chienne soumise, utilisée pour briser cet homme allongé sous elle, sa queue prisonnière de sa chatte tandis que Matthieu défonçait son cul. A chaque fois qu’elle imaginait Claire entrant, voyant son mari se faire chevaucher, sa queue disparaissant dans la chatte trempée d’une salope baisée en double, cette pensée perverse décuplait son plaisir. Sa chatte convulsait autour de la queue de Clairmont, son cul serrant celle de Matthieu comme un étau, sa mouille giclant à chaque poussée. Elle joua son rôle, murmurant d’une voix brisée entre deux cris : « Pardon, Matthieu… je suis une pute… » tout en cambrant son cul pour accueillir les coups de reins des deux hommes, ses parois palpitant autour d’eux, son clito explosant sous la friction.
Matthieu, intensifia ses assauts, ses hanches claquant contre le cul de Flavie avec une force brutale, chaque coup de reins enfonçant sa queue plus profondément dans son cul, ses parois s’étirant à chaque intrusion. « T’es faite pour ça, ma chienne, » grogna-t-il, ses doigts serrant ses hanches, ses ongles s’enfonçant dans sa chair. « Prendre deux bites comme une pute, c’est tout ce que tu mérites ». Clairmont, poussé par les ordres de Matthieu, baisait sa chatte avec une énergie désespérée. Flavie sentait ses couilles claquer contre son cul à chaque va et vient.
La double pénétration atteignit son paroxysme, les deux hommes baisant Flavie avec une synchronisation brutale, leurs queues plongeant en elle à l’unisson, leurs mouvements amplifiant chaque sensation. Flavie, submergée, hurlait sans retenue, ses cris résonnant dans les toilettes comme une symphonie de débauche, son corps secoué par des orgasmes successifs qui la laissaient tremblante, à peine capable de tenir sur ses mains. Sa chatte convulsait autour de la queue de Clairmont, son cul serrant celle de Matthieu, sa mouille giclant dans tous les sens. Son esprit, consumé par l’amour pervers pour Matthieu, était en feu, elle était sa pute, son arme pour briser Clairmont, et chaque coup de reins, chaque insulte, chaque sensation scellait le piège avec une intensité lubrique. La scène, chaotique et obscène, était un tourbillon de débauche, chaque cri de Flavie, chaque poussée des deux hommes renforçant le piège qui se refermait sur Clairmont.
Matthieu ne cessait de lui donner de grand coup de queue. et elle cambrerait toujours plus fort, tendant son cul pour mieux les encaisser. Pour les sentir plus profonds, plus vrais. Son corps explosait à chaque frottement, chaque impact. Son esprit était ailleurs. Sous elle Clairmont, poussait faiblement, comme s’il luttait pour suivre le rythme imposé. Matthieu ralentit le finalement. Flavie resta le corps tremblant, empalée. Elle était dans un état second, secoué par des orgasmes successifs, convulsant sur les queues qui la remplissaient. Sa robe noire, relevée jusqu’à sa taille, exposait son cul marqué et ses cuisses luisantes, trempées de mouille. Son esprit, consumé par un amour pervers, brûlait d’une excitation insatiable. Il était toujours planté au fond de son cul lorsqu’elle entendit sa voix « T’es pas à la hauteur Clairmont, » grogna Matthieu, sa voix chargée d’un mépris subtil. « Ma pute mérite mieux que tes coups de seconde zone. Tu peux faire mieux. » Flavie, le cœur battant à tout rompre, sentit une vague de chaleur envahir son corps à ces mots. Elle adorait être utilisée sans pitié par son homme.
Matthieu empoigna les fesses de Flavie, ses doigts s’enfonçant dans sa chair encore sensible, et la souleva légèrement, juste assez pour que le sexe de Clairmont reste enfoncée dans sa chatte. Elle senti la queue de Matthieu sortir de son cul, et se positionner à l’entrée de sa chatte, juste au dessus du sexe de Clairmont. Elle l’imaginait, un sourire sadique aux lèvres, ses yeux brillant d’une excitation perverse. Flavie, l’esprit en feu, gémit, son corps tremblant d’excitation et d’une pointe d’appréhension. L’idée d’avoir sa chatte remplie par deux sexes à la fois, la rendait folle, son clito palpitant à l’idée de ce qu’elle allait subir.
D’un coup de reins brutal, Matthieu enfonça sa queue dans la chatte de Flavie, aux côtés de celle de Clairmont, étirant ses parois à l’extrême. Flavie hurla, un cri qui déchira l’air des toilettes, son corps secoué par une douleur brûlante et un plaisir viscéral qui la fit trembler de la tête aux pieds. Les deux queues remplissaient sa chatte simultanément, leurs glands frottant l’un contre l’autre, leurs veines saillantes pressant contre ses parois sensibles avec une intensité presque insoutenable. La sensation lui procurait un plaisir obscène, chaque nerf de son corps était en feu, ses jambes vacillant sous l’effort pour rester en place, ses mains crispées sur le torse de Clairmont, ses ongles griffant sa peau. Matthieu, dominant la scène, se mit à la baiser comme une bête, ses coups de reins profonds et rapides, sa queue labourant sa chatte avec celle de Clairmont dans un ballet de friction brutale. Clairmont, écrasé sous elle, grogna sous l’effort, ses hanches poussant vers le haut pour suivre le rythme imposé, son sexe cognant par à coup au fond de Flavie. Sa mouille giclait à chaque mouvement, trempant ses cuisses et ses couilles.
Flavie, les sens submergée, hurlait sans retenue, ses cris obscènes emplissant la pièce, rebondissant contre les murs carrelés comme une symphonie de débauche. Sa chatte, étirée à la limite, convulsait autour des deux queues, ses parois sensibles palpitant à chaque frottement, chaque poussée. Le gland de Matthieu, implacable, cognait contre son col avec une force qui envoyait des éclairs de plaisir à travers son corps, tandis que celui de Clairmont, épais et gonflé, frottait contre ses parois internes, créant une friction intense qui amplifiait chaque sensation. Son clito, gonflé et hypersensible, frottait contre Clairmont à chaque mouvement, chaque contact déclenchant des spasmes de plaisir qui faisaient trembler ses jambes. Le bruit humide et obscène des deux hommes baisant sa chatte, mêlé aux claquements des hanches de Matthieu contre son cul et aux grognements, créait une cacophonie lubrique.
Matthieu, cher d’orchestre la débauche, grognait des insultes crues, sa voix vibrant dans l’air saturé de sexe. Il empoigna ses cheveux, tirant sa tête en arrière pour exposer sa gorge, et cracha sur son visage, la salive dégoulinant sur ses joues, un acte humiliant qui fit frissonner Flavie de plaisir. Elle en profita pour jouer son rôle, murmurant entre deux cris : « Pardon, Matthieu… je suis une mauvaise fille… » tout en cambrant pour accueillir les coups de reins des deux hommes. Son esprit était un brasier, consumé par ce qu’elle ressentait pour Matthieu, pour cet homme qui l’utilisait comme une pute pour briser un autre homme. Elle imaginait Claire entrant, voyant son mari et Matthieu défoncer sa chatte de petite salope en double, leurs sexe frottant l’un contre l’autre, et cette pensée perverse décupla une fois de plus son plaisir, sa mouille giclant comme une fontaine.
La double pénétration qu’elle subissait était une tempête sensorielle. Chaque coup de reins de l’un se répercutait à travers le corps de l’autre, leurs mouvements se nourrissant, se renforçant, jusqu’à créer une cadence infernale, synchronisée, inarrêtable. Matthieu la prenait avec une sauvagerie lubrique, une rage brute, comme s’il voulait la casser de l’intérieur. Ses coups de reins, puissants et rapides, faisaient claquer son bassin contre ses fesses rougies, chaque impact faisant trembler tout son corps. Sa queue, tendu à l’extrême, s’enfonçait jusqu’aux couilles, sans douceur, sans pause, raclant son cul jusqu’au fond avec une brutalité jouissive. Chaque coup de reins de son homme était une déclaration brute de puissance, une revendication de territoire. Il baisait Flavie comme pour l’ancrer à jamais à lui, son sexe cognant sans relâche au fond de sa chatte déjà pleine, son gland s’écrasant contre son col avec une force implacable, la faisant hurler à chaque coup C’était plus que du sexe, c’était un acte de domination. De marquage. Il la possédait comme sa chose. Et Clairmont, en dessous, prisonnier de cette scène qu’il croyait encore comprendre, continuait à pousser, désespéré, comme s’il cherchait encore à exister entre ses cuisses. Sa queue, enfoncée dans cette chatte déjà ravagée, labourait ses parois devenues trop sensibles, trop dilatées, trop trempées. Chaque mouvement envoyait son gland heurter brutalement le fond de sa chatte, frappant contre l’endroit même que la queue de Matthieu venait d’écraser l’instant d’avant.
Flavie, prise entre les deux, convulsait, secouée par la violence de la double intrusion. Des cris étranglés se perdaient entre ses lèvres. Les deux queues se heurtaient dans un ballet incessant. Serrées l’une contre l’autre dans l’étroitesse brûlante de sa chatte, chaque coup secouait son corps. Elle les sentait, distinctes et confondues à la fois, la plongeant dans un état de plénitude presque insoutenable, chaque veine, chaque pulsation amplifiant son plaisir jusqu’à la limite de l’extase. Elle sentait chaque détail, la sexe de Matthieu, dure et souverain, étirant ses parois à l’extrême, frottant contre celui de Clairmont, pulsant et gonflé, cherchant sa place, leurs gland cognant à tour de rôle au fond, ne lui laissant aucun répit. Cette friction la rendait folle, deux chaleurs rivales qui se battaient pour la posséder, deux forces qui s’entrechoquaient en elle, cognant au fond, plus fort, toujours plus fort. Ses parois étirées vibraient sous la contrainte, chaque veine, chaque va et vient se répercutant dans son ventre comme une décharge de plaisir brut. Flavie suffoquait, submergée, prisonnière volontaire d’un combat où son corps n’était plus qu’un champ de bataille. Offert, tendu, tremblant, à la limite de la jouissance et de la folie.
Elle n’était plus qu’une poupée de chair, un sanctuaire saccagé de l’intérieur, un jouet vivant offert à deux queues en guerre, et elle adorait ça.
Soudain, Matthieu accéléra. Ses hanches se mirent à cogner plus fort, plus vite, avec une brutalité presque incontrôlable. Sa queue durcie au maximum, pulsait de désir, chaque coup de reins devenant hachés, désordonnés, brutaux, comme s’il perdait le contrôle. Il poussa un râle de plaisir, profond, primitif, qui résonna dans la pièce comme le rugissement d’un prédateur au sommet de sa jouissance. Flavie n’avait pas besoin de le voir, elle le sentait. Sa queue se mit à convulser violemment, et d’un coup, elle fut frappée par une première giclée de foutre, chaude, dense, qui l’inonda de l’intérieur. Puis une autre. Et encore une autre. Les jets venaient en salves puissantes, se déversant au plus profond de sa chatte, la remplissaient d’une chaleur épaisse et visqueuse. Elle gémit, incapable de se contenir, le corps secoué par le mélange de brutalité et de jouissance crue.
La queue de Clairmont, encore raide, encore frustré, continuait de s’activer. Le foutre épais remplissait chaque espace, se coinçait entre les deux queues, dégoulinait autour d’elles, et ressortait déjà, blanc, chaud, gluant. Elle n’était plus qu’un trou, utilisé, déchiré par deux queues qui s’étaient frayé un passage de force dans le même orifice. La sensation était démente, étirée jusqu’à la brûlure, remplie au-delà du raisonnable, incapable de distinguer qui bougeait, qui jouissait, qui poussait le plus fort. C’était un enfer de chair, de foutre et de plaisir. Matthieu haletait, mais continuait à la baiser, même en jouissant, incapable de lâcher prise. Chaque va et vient faisait frotter sa queue contre celle de Clairmont, toujours prisonnière du même fourreau de chair trempé. Les deux sexes glissaient dans sa chatte, dégoulinante de mouille et de sperme, et chaque friction faisait gicler un peu plus du mélange lubrique, en filets épais qui coulaient le long de ses cuisses.
Flavie adorait sentir son homme cracher tout au fond d’elle, sentir sa queue pulser, se gonfler, déverser sa semance en profondeur. Cette chaleur épaisse qui l’envahissait, cette pression moite qui remplissait ses entrailles… C’était sale, obscène, incontrôlable, et elle adorait ça. Elle sentait son sperme remuer en elle à chaque va et vient, collé entre les deux queues encore enfoncées, comme un lubrifiant chaud et poisseux, qui accentuait la friction. Et cette pensée… que c’était lui, son homme, celui qu’elle aimait, qui la remplissait, qui marquait sa chatte, qui la possédait sans pitié, comme une pute, ça la rendait folle. Elle le voulait jusqu’à la dernière goutte. Elle voulait être son réceptacle à foutre, le vider entièrement. Et plus il jouissait en elle, plus elle se sentait à lui. Elle se sentait à sa place, elle lui appartenait. À genoux, empalée, la chatte dégoulinante, le corps traversé de frissons de pur plaisir.
Matthieu, le corps encore tendu par la jouissance, ralenti ses coups. Ils devinrent plus lents, plus profonds, comme pour savourer chaque dernière contraction de sa queue qui terminait de se vider. Il s’assura d’avoir tout lâché, jusqu’à la dernière goutte, au fond de Flavie, puis, lentement, se retira. Sa queue glissa hors d’elle dans un bruit obscène, un mélange de foutre et de mouille dégoulina le long de son membre. Celle de Clairmont, elle, était toujours là. Enfoncée. Dure. Ancrée bien profond dans la chatte où il venait de se vider les couilles. Matthieu se redressa, satisfait, mais insatiable. Il jeta un regard vers Clairmont, puis revint vers Flavie, la dominant du haut de sa stature. Sans dire un mot, il se plaça devant son visage, sa queue luisante de foutre à quelques centimètres de sa bouche entrouverte. Elle le regarda avec ses yeux de chienne qu’il aimait tant. La langue déjà sortie, prête à accueillir son membre. Il venait de la baiser jusqu’à l’épuisement… et elle en redemandait. Il l’aimait aussi pour ça.
Clairmont, resté en elle comme un témoin muet de la débauche, reprit en cadence. Animé d’une urgence brute, presque animale. Empalée sur lui, Flavie encaissait chaque coup de reins, ses gémissements étouffés par la queue de son homme qui assiégeait maintenant sa bouche. Clairmont s’enfonçait profondément en elle, glissant sans résistance dans ce mélange obscène de foutre et de mouille. Il sentait cette mixture visqueuse enrober sa queue, comme une caresse lubrique, rendant chaque va et vient plus intense, plus jouissif. La chatte de Flavie se refermait sur lui à chaque coup, l’avalant, l’aspirant avec une avidité presque douloureuse. Sa queue, gonflée, prête à craquer, frappait le fond avec une violence désespérée, impatient de jouir à son tour, de se vider dans ce sanctuaire déjà profané.
Haletant, les mâchoires serrées, Clairmont la baisait comme un damné, cramponné à ses hanches. Matthieu l’encourageait presque paternaliste, comme s’il guidait un élève appliqué. « Vas-y, défonce la bien… montre lui ce qu’est un vrai mâle » Cette voix grave, calme, contrastait avec la brutalité de Clairmont, qui martelait la chatte de sa femme avec la rage contenue d’un mâle frustré, enfin délivré de l’humiliation de devoir attendre son tour. Plus de lutte, plus de rival, juste lui, sa queue et ce corps tremblant qui le chevauchait, enfin à sa merci. Il ne tarda pas à se raidir, le souffle court, le visage tordu par la jouissance. Ses couilles se contractèrent violemment, prêtes à éclater. Un râle s’échappa de sa gorge : « Putaain… » grogna-t-il, incapable de retenir la déferlante. Sa queue pulsa et il explosa en elle, l’inondant en giclées épaisses, crachées au plus profond de Flavie.
Son foutre venait se mêler à celui de Matthieu, formant un mélange obscène, une crème tiède que son sexe brassait à chaque soubresaut de plaisir. Flavie adorait cette sensation, l’idée de se faire remplir à nouveau, au même endroit, dans sa chatte déjà souillée par son homme. Cela lui procurait un plaisir délicieusement pervers. C’était sale, c’était obscène… et elle aimait ça. Elle gémit de plaisir, une plainte étouffée et tremblante, au moment où elle sentit le foutre brûlant de Clairmont jaillir en elle. La première giclée la fit frissonner de la tête aux pieds. Epaisse, chaude, tapissant ses parois déjà souillées.
Elle aimait cette sensation, sentir sa chatte se faire inonder jusqu’à saturation par son homme, par Clairmont, par toutes queues que son maître lui imposait.
Flavie, pantelante, les jambes tremblantes après tout ce qu’elle venait d’encaisser, restait agenouillée devant son homme, la bouche affamée. Sa langue glissait le long de sa queue encore luisante, traquant chaque goutte de sperme, chaque trace de sa propre mouille, comme une chienne nettoyant le fruit ses excès. Elle suçait avec une dévotion obscène, les lèvres enroulées autour de cette queue qu’elle vénérait, la savourant jusqu’à la dernière perle, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien. Son corps frissonnait encore de spasmes, le souffle court, la peau moite d’extase. Entre ses cuisses entrouvertes, sa chatte était en feu, inondée, trop pleine de foutre et menaçait de déborder à chaque mouvement.. Elle était souillée, pleine, comme une coupe trop remplie. Matthieu, debout devant elle, un rictus satisfait au coin des lèvres, grogna d’un plaisir sombre. Il glissa sa main dans ses cheveux, serra sa prise, et tira doucement sa tête en arrière pour capturer son regard. Leurs yeux se croisèrent, elle, ruinée et soumise, lui, maître de la scène, et dans ce silence brûlant, tout s’échangea sans un mot, leur sentiment, la fierté, la domination, l’appartenance.
« T’es vraiment une belle pute… » murmura Matthieu, presque tendrement, un sourire sadique accroché aux lèvres, son regard planté dans celui de sa belle. Derrière la dureté des mots, il y avait cette vibration subtile, à peine audible, chargée d’amour et de tendresse pour celle qu’il aimait. Une tendresse masquée par une cruauté volontaire. Il jouait aussi son rôle à la perfection, n’offrant à Clairmont que l’image de l’homme trahi, devenu monstre, se vengeant en traitant sa femme comme une chienne à dresser devant témoin. Mais Flavie, elle, entendait au-delà. Elle lisait la vérité dans ses yeux, dans les inflexions de sa voix, dans les silences entre deux insultes. Elle reconnaissait cette douceur secrète, cette dévotion silencieuse qu’il ne montrait à personne d’autre. C’était leur langage à eux. Un amour brut, pervers, mais d’une intensité sacrée. Et dans cette violence mimée, dans cette mise en scène obscène, elle se sentait plus à lui que jamais.
D’un geste lent, presque solennel, Matthieu tendit la main vers elle. Son regard s’était adouci, imperceptiblement, juste pour elle. Sans un mot, il glissa ses bras autour d’elle et la souleva du sol. Elle se sentait légère. Elle adorait cette sensation. Il l’aida à reprendre son équilibre, délicatement, comme on relève une reine tombée de son trône. Flavie gémit doucement en libérant la queue de Clairmont. Un bruit obscène accompagna sa sortie. Elle était molle, poisseuse et flasque. Misérablement vestige d’une jouissance arrachée. Elle sentait son corps ruiné, tremblant, vidé de toute pudeur. Ses jambes peinaient à la soutenir, sa chatte était souillée, brillante de sperme, ses cuisses maculées du cocktail de leur perversion partagée. Elle s’agrippa à Matthieu, comme à une ancre, le front posé un instant contre son torse. Et lui, sans dire un mot, la maintenait contre lui, la soutenait dans ce chaos. Une salope brisée, exploitée, mais sa salope à lui. Rien qu’à lui.
Elle resta là quelques secondes, haletante contre lui, cherchant dans la chaleur de son torse un repère, un souffle, un ordre. Matthieu baissa légèrement la tête, son nez frôlant ses cheveux, puis murmura d’une voix grave, basse, impérieuse « Essuie ton visage. On retourne à table » Le ton n’appelait aucune réponse. Flavie hocha lentement la tête, soumise, encore noyée dans l’ivresse. Elle s’écarta avec lenteur, attrapa quelques feuilles d’essuie-mains posées au distributeur, et commença à nettoyer son visage. Elle tamponna les coins de sa bouche, nettoya les traces collées sur ses joues, avec des gestes rapides, précis. Son maquillage semblait étonnamment intact, glorieux témoin glorieux de cette scène de dépravation.
Satisfaite elle regarda Matthieu qui avait terminé d’ajuster ses vêtements. Il la détailla d’un regard lent, possessif. Puis se tourna vers Clairmont, assis sur le sol, les jambes écartées, la queue pendante, dégoulinante de foutre. Son visage exprimait un mélange d’épuisement, de gêne, de silence honteux. Un mâle vaincu. Matthieu ricana doucement en s’adressant à Flavie « Descend ta robe, elle est au dessus de ton cul. Mais laisse ce foutre couler entre tes cuisses. Ne touche a rien, que tout le monde voie quelle salope tu es. » Flavie, son cœur cognant dans sa poitrine, sentit une vague de chaleur perverse envahir son bas-ventre à ces mots. Elle obéit, tirant lentement sa robe noire sur ses hanches, le tissu collant à sa peau trempée, épousant ses cuisses luisantes de foutre. Sans culotte, elle savait que le sperme de Matthieu et Clairmont allait dégouliner librement, marquant ses cuisses comme une preuve obscène de son abandon. Elle se sentait sale, avilie, comme une pute marquée au fer rouge, et cette sensation la faisait frissonner de plaisir, sa chatte palpitant à chaque pas, son clitoris gonflé frémissant à l’idée d’être exposée ainsi.
Matthieu jeta un regard dédaigneux à Clairmont, toujours au sol, pathétique, son costume froissé comme s’il avait été traîné dans une ruelle sordide. Il n’était plus qu’une loque, une pièce secondaire dans un jeu qu’il n’avait jamais maîtrisé. « On part devant. A ta place, je m’activerais » lança-t-il, son ton chargé d’un mépris cinglant, un sourire cruel aux lèvres.
Sans attendre de réponse, il se tourna vers Flavie, l’empoigna par le bras et la tira vers lui avec cette autorité instinctive, animale, qu’elle aimait. Elle suivit, docile et glorieusement souillée. Ils franchirent la porte des toilettes d’un pas tranquille, presque royal. Les lumières du couloir dansaient dans leur sillage.
À peine éloigné, Matthieu la plaqua contre le mur, sa main venant enserrer sa gorge avec cette fermeté familière. Flavie étouffa un gémissement de surprise en sentant ses doigts l’écraser contre la cloison. Il se pencha vers elle, et l’embrassa comme on revendique une chose qu’on possède corps et âme. Sa bouche s’écrasa contre la sienne, sa langue l’envahit sans préavis, fouillant sa bouche. Ses dents mordirent sa lèvre inférieure, comme pour l’arracher à la réalité. « T’as été parfaite. » souffla-t-il contre sa bouche, sa voix basse vibrante de fierté et d’un désir retrouvé. « Une vraie salope. Exemplaire. » Flavie ferma les yeux une seconde. Son ventre se contracta, sa chatte pulsa, tremblante de reconnaissance et de plaisir Elle se sentait à la fois ravagée et triomphante, souillée mais glorifiée. Elle leva les yeux vers lui, amoureuse. Un frisson la parcourut tandis qu’un filet chaud de sperme dégoulinait le long de ses cuisses, lentement, insistant, comme une signature.
Ils reprirent le chemin vers leur table. Matthieu guidant Flavie par la taille, sa main possessive glissant sur sa hanche, ses doigts caressant son cul à travers le tissu de sa robe. Ils empruntèrent le couloir étroit menant à l’escalier du restaurant, Flavie ouvrait la marche, ses talons claquant sur le sol, chaque pas envoyant une nouvelle goutte de foutre dégouliner entre ses jambes Le mélange visqueux de sperme et de mouille coulait en filets chauds, glissant de l’intérieur de ses cuisses jusqu’à ses genoux. La lumière du couloir faisait scintiller ce cocktail obscène. Et l’idée que quelqu’un.. que Claire.. pourrait entrevoir ces traînées luisantes sous sa robe, la faisait frémir d’un plaisir pervers. Sa chatte palpitant à cette idée, excitée par le plaisir de l’humiliation et de l’exhibition.
Alors qu’ils montaient les escaliers, derrière elle, Matthieu ne résista pas. Sa main glissa sous la robe, remonta lentement le tissu jusqu’à dévoiler le cul nu de Flavie, encore marqué de rouge, strié de traces de mains Sans prévenir, il lui asséna une claque puissante Le son sec résonna dans tout le couloir comme une détonation obscène. La brûlure vive fit frémir Flavie, déclenchant une onde de plaisir brut qui la fit gémir sans retenue.
Elle se retourna légèrement, les lèvres entrouvertes, un sourire salace accroché aux lèvres, les yeux étincelants de vice. Au même instant, un nouveau filet de foutre glissa le long de sa cuisse droite, traçant un chemin gluant sur sa peau. « Tu débordes ma belle » lança Matthieu, amusé, ses doigts frôlant son cul avant de le claquer à nouveau, arrachant un autre gémissement à Flavie. Elle sourit plus largement, son corps vibrant de plaisir à l’idée d’être exposée comme une pute par son maître.
Ils regagnèrent leur table comme si de rien n’était. Claire était toujours assise, les yeux rivés à son téléphone, totalement absorbée, inconsciente de l’orgie silencieuse qui venait de souiller le décor feutré du restaurant. Le serveur arriva pile à ce moment-là, déposant les desserts avec une neutralité professionnelle. Une mousse au chocolat pour Claire, un tiramisu pour Matthieu, et une tarte aux fruits pour Flavie.
Flavie, s’assit avec précaution, sentant une nouvelle traînée de foutre se répandre entre ses cuisses, glissant lentement sous sa robe. La sensation visqueuse lui arracha un frisson délicieux, comme un rappel intime. Sa chatte frétillant à l’idée qu’elle était pleine de sperme, souillée par deux hommes. Elle serra les cuisses, retenant un soupir. Sa chatte encore gonflée de plaisir, ivre d’être ainsi remplie et exposée dans ce lieu chic, assise comme n’importe quelle femme bien élevée, alors qu’elle n’était qu’une petite pute dégoulinante sous la table.
Claire releva enfin les yeux, fronçant légèrement les sourcils, un soupçon d’agacement dans la voix. « Vous vous êtes absentés un sacré bout de temps, non ? Et Clairmont, il est passé où ? » Son ton oscillait entre curiosité et impatience, sans se douter une seconde de ce qui s’était réellement joué dans l’ombre. Avant que Matthieu ne puisse répondre, elle se leva, repoussant sa chaise. « Je vais le chercher, il doit encore traîner quelque part, » marmonna-t-elle, avant de disparaître en direction du couloir menant aux toilettes.
Matthieu saisit aussitôt l’opportunité. Son regard glissa vers Flavie, chargé d’une lueur cruelle, ses lèvres s’étirant en un sourire qui n’annonçait rien d’innocent. « Écarte tes cuisses ma belle » souffla-t-il, d’une voix basse, vibrante de malice en glissant une cuillère à dessert dans la main de Flavie « Sors ce foutre de ta chatte et étale le sur la mousse de Claire. » Le cœur de Flavie s’emballa. Une chaleur brûlante explosa dans son ventre. Cette demande indécente, cette humiliation absolue… elle n’y réfléchit même pas. Obéissante, elle glissa une main sous la table, écartant lentement ses cuisses encore moites, exposant sa chatte dévastée, gorgée à ras bord de sperme.
Elle plaça la cuillère juste sous ses lèvres, puis glissa deux doigts dans sa chatte, encore gonflée, jouant doucement avec. Un simple mouvement et un flot épais du précieux nectar s’échappa, dégoulinant directement dans la cuillère. Sa chatte, ayant encaissé une double dose, le sperme,épais et crémeux, remplit la cuillère à ras bord en quelques secondes. Le liquide blanc et gluant débordant presque du métal luisant. Le moindre frôlement de ses doigts sur son clito hypersensible déclenchait des spasmes de plaisir incontrôlables. Un gémissement étouffé par l’ambiance du restaurant. Avec un sourire de pute dépravée, Flavie étala le foutre sur la mousse au chocolat de Claire, le mélangeant à la crème veloutée qui le recouvrait. Une trace obscène invisible. « Encore une » ordonna Matthieu, sa voix pleine de vice. Flavie, s’exécuta ses doigts tremblants d’excitation alors qu’elle recueillait une nouvelle dose de nectar obscène. Elle allait tendre la cuillère lorsqu’il l’arrête « Non. Celle-là, elle est pour toi » Elle se figea, puis obéit, portant la cuillère à ses lèvres. Sa langue glissa sur le métal encore tiède, goûtant ce cocktail de sperme. Elle le laissa couler dans sa gorge, frissonnante, une onde de plaisir l’envahissant son regard plongé dans celui de Matthieu. Elle reposa la cuillère, luisante de salive, son regard toujours embrasé de pure luxure.
C’est à cet instant que Claire revint, traînant derrière elle un Clairmont livide, presque chancelant. Son costume était froissé, ses yeux fuyants, le regard fendu d’une honte impossible à dissimuler « Il était encore dans les toilettes, figurez-vous, » dit Claire, un sourire pincé aux lèvres, avant de se rasseoir.
Clairmont, silencieux, se laissa tomber sur sa chaise. Il n’osa pas lever les yeux, ses mains tremblaient sur ses cuisses. Flavie, sentait de nouvelles traînées de foutre couler entre ses cuisses. Elle avourait cette sensation. Sa chatte palpitant à l’idée que Claire allait bientôt goûter à ce mélange inavouable, pervers, sur son dessert. Matthieu, brisa le silence tendu, se penchant vers Clairmont avec un sourire calculateur, ses yeux brillant d’une lueur sadique « Alors, on signe ce contrat, ou tu veux qu’on continue à discuter ? » dit-il, sa voix mielleuse mais chargée d’une menace à peine voilée. Il sortit une liasse de papiers de sa sacoche, les posant sur la table avec une nonchalance étudiée, comme s’il tendait un piège à un animal blessé.
À cet instant précis, Flavie vit Clairmont sursauter légèrement. Un frisson nerveux le traversa. Son téléphone venait de vibrer. Il le saisit d’une main hésitante, les doigts tremblants, comme s’il pressentait déjà le désastre. En un souffle, son visage se figea, les traits livides. Ses yeux s’écarquillèrent, avalés par une horreur brute, viscérale, qui lui tordit la bouche en une grimace muette. Matthieu, implacable, attendait ce moment. Avec une précision diabolique, il fit glisser le contrat devant Clairmont, son sourire s’élargissant comme celui d’un prédateur refermant ses mâchoires sur sa proie. D’un simple geste sous la table, il tendit son propre téléphone à Flavie, l’écran tourné vers elle. Un message. Une photo.
Flavie baissa les yeux et la découvrit. Une photo qui semblait volée, Clairmont, à moitié nu, reconnaissable entre mille, allongé au solw une femme le chevauchant, prise en double. Les deux queues disparaissaient dans une chatte étirée à l’extrême. Le visage de la femme n’était pas visible… mais Flavie n’avait pas besoin de le voir. Elle le savait. C’était elle. Son corps à elle, empalé, sa chatte outrageusement défoncée, avant de finir noyée de foutre. Un frisson de plaisir remonta le long de sa colonne. Sa chatte frémit, palpitante. Un spasme d’excitation secoua son bas ventre. Elle repensait à l’intensité de cet instant. Ces deux queues en elle, frottant l’une contre l’autre dans sa chatte trop pleine, la pression démente, le foutre chaud qui jaillissait, inondant ses entrailles. Et ce moment où son clito, écrasé entre deux bassins, avait explosé dans un orgasme incontrôlable.
Elle mouilla rien qu’en y pensant. Son souffle se fit plus court. Elle était là, assise dans un restaurant chic, trempée jusqu’aux cuisses, alors que la preuve de sa propre débauche servait de levier à son maître pour dominer un homme brisé. Et elle adorait ça. Chaque seconde.
Clairmont, blême, posa son téléphone face contre la table, comme si le simple fait de voir l’écran le brûlait. Ses mains tremblaient, ses mains tremblantes comme s’il luttait pour ne pas s’effondrer. Il parcourut le contrat en silence, ses lèvres pincées, son regard fuyant, incapable de croiser celui de Claire, qui, inconsciente, plongea sa cuillère dans sa mousse au chocolat, puis jusqu’à sa bouche, ses lèvres s’enroulant doucement autour du métal. Ignorant tout de la souillure invisible qu’elle dégustait. Le sperme de son mari et celui de Matthieu, soigneusement mélangé à son dessert.
Flavie, en face, les jambes serrées sous la table, sentit une nouvelle perle chaude glisser entre ses cuisses, lentement, comme un rappel charnel de son rôle dans cette mise en scène perverse. Sa chatte palpitait à l’idée que Claire, sa bouche gourmande et naïve, léchait la semence qui avait inondé sa chatte. Son regard se posa sur Clairmont, dont le masque de dignité craquait seconde après seconde.
Après un long silence, la voix de Clairmont s’éleva, rauque, brisée, presque inaudible « Dix ans… Le tarif est sacrément élevé, putain.. ».
Matthieu se pencha vers lui, un sourire froid aux lèvres. Un sourire d’homme qui tient l’autre par les couilles. « Ouais, c’est pas donné, » répondit-il calmement, sa voix douce comme du velours.. mais avec la tranchant d’une lame bien affûtée. Il laissa planer un silence, avant d’ajouter « Il y a de nouveaux paramètres à prendre en compte. Tu veux que je te les détaille ? Je suis sûr que Claire serait curieuse d’en savoir plus… » Il tourna à peine la tête, jetant à Claire un regard faussement complice. Elle léchait distraitement sa cuillère, un sourire aux lèvres, totalement ignorante de ce qu’elle suçotait. Clairmont, le visage décomposé, déglutit péniblement, ses mains crispées sur le bord de la table. Sans un mot, il saisit le stylo que Matthieu lui tendait, ses doigts tremblants laissant une signature irrégulière sur le papier, comme s’il signait son propre arrêt de mort.
Flavie, observait cette scène avec une délectation troublante, sentant une nouvelle coulée de foutre glisser entre ses cuisses, la chaise imbibée de foutre, son sexe vibrant de fierté sale. Elle était le levier, le poison, la salope docile qui avait scellé ce piège. Et elle n’avait jamais joui d’une telle sensation de pouvoir et de soumission à la fois. Son esprit était embrasé par le triomphe de Matthieu, par l’innocence de Claire, savourant le sperme de son homme. Elle était sa pute, son arme obscène, et putain, elle adorait chaque seconde de cette humiliation, chaque goutte de foutre qui marquait son corps, chaque regard fuyant de Clairmont.
Matthieu, parfaitement détendu, rangea le contrat signé dans sa sacoche avec une nonchalance maîtrisée. Il leva son verre de vin, son sourire éclatant d’une satisfaction presque insolente. « Alors Claire… comment tu la trouves cette mousse au chocolat ? » dit-il, levant son verre de vin avec une désinvolture provocante. Flavie faillit éclater de rire. Elle se mordit la lèvre pour se contenir, un sourire de salope complice illuminant son visage. Elle croisa le regard de Matthieu. Le piège était scellé. Le contrat signé. Et elle… elle était celle qui avait tout rendu possible. Elle serra les cuisses. Sa chatte palpitait. Et elle savait que la soirée ne faisait que commencer…